Almafi

Almafi, tout comme Positano, se situe dans un site magnifique, entre mer et montagne. Les maisons blanches dévalent les pentes d'un vallon jusqu'au niveau de la mer.

Ce qui fait l'originalité de cette petite ville à mes yeux, ce n'est pas sa réputation de « capitale » de la dolce vita dans les années 50-60 mais plutôt sa rue centrale qui s'enfonce vers la montagne et des escaliers qui partent de chaque côté vers des ruelles-tunnels très étroites. 

Franchement je me verrai mal acheter une maison ici car le vélo (sans les sacoches) passait tout juste. Alors imaginer emménager ici, ouah c'est du sport !

La place principale et sa magnifique basilique, fermée au moment où je me trouvais dans le village.

Les voilà ces escaliers, bien étroits et assez raides.

LA rue centrale où foisonnent les magasins à touristes.

Et ces tunnels piétonniers, de plusieurs dizaines de mètres de longueur.

Chaque village sur la côte a sa/ses crèche(s).

Mieux vaut être mince ici.

Positano

L'ancienne bourgade de Positano est le « seul endroit au monde conçu sur un axe vertical » (Paul Klee). C'est avant tout un site grandiose où des petites maisons cubiques et blanches descendent en terrasse vers la mer.

Le village en lui même a peu à offrir au voyageur, par contre le touriste de passage peut s'acheter des belles sandales, célèbres dans tout le pays.

La première vue sur la village quand on arrive du nord : waouh.

Le village est adossé à la montagne.

Une crèche, semi-vivante !

Moi je vous dis, c'est pas un village pour les vélos, à moins d'aimer le dénivelé.

Gros légos.

Dernier coup d'oeil avant de continuer ma route.

Même le cimetière respecte l'architecture du coin !

Herculanum

Vous savez tous plus ou moins (si vous lisez les articles) que j'avais fait une croix sur les sites de Pompéi et d'Herculanum (11€ l'entrée pour chaque site ou 20€ l'entrée couplée) car je suis sans carte bancaire depuis maintenant 2 semaines.

Cependant je savais qu'il était possible de surplomber le site d'Herculanum avant l'entrée payante. Je me suis donc rendu, à défaut de voir les ruines en détail, j'en ai eu un aperçu. J'étais donc satisfait.

Cependant je me suis rendu au centre d'information, où se trouvent la caisse et l'accès au site, pour une envie pressante. La chose étant faite, j'ai remarqué que aucun contrôle des billets n'était effectué au niveau des tourniquets, eux ouverts. J'y suis donc allé tranquillement et mine de rien, je me suis retrouvé sur le site.

Bon je ne m'en gargarise pas du tout mais je suis content d'avoir pu visiter le site, gratos.

Pour la petite histoire, Herculanum (fondée d'après la tradition par Hercule et lieu de villégiature) a été ensevelie en 79 après JC suite à une éruption du Vésuve. Une coulée de boue a déferlé sur la ville mais elle a servi de carapace protectrice. On peut ainsi voir des poutres et des charpentes d'époque.

Le site est assez petit mais 2 bonnes heures sont nécessaires pour découvrir les ruines.

Vue d'ensemble du site depuis la partie non payante.

Et depuis la partie payante, avec le Vésuve en arrière-plan.

Bien souvent il ne reste pas grand chose.

Les termes.

Les fresques les plus remarquablement conservées.

Boiserie d'époque !

Magnifique mosaïques.

Ces coquilles, intactes, ont plus de 2000 ans !

Le vélo n'existait pas encore ...

Reste d'une poutre, le bois est pétrifié.

Des habitants d'Herculanum ensevelis par la coulée de boue.

Jour de marché à Portici

Le mercredi à Portici, les commerçants du centre ville sortent leurs étalages sur les trottoirs et les habitants viennent prendre le soleil !

Sympa l'ambiance, tout comme la ville, qui recèle quelques petits trésors, au hasard des rues.

Ambiance.

Devanture d'une supérette de quartier.

Le petit port de Portici, mignon. Le vésuve veille.

La rue de la paix ?

Qu'il est bon de se relaxer sous le généreux soleil de février. A chacun sa façon de relaxation !

Pour les tifosi du Napoli, un succulent gâteau.

L'humour à l'italienne : "Un monde plus propre est un monde meilleur"